La voûte céleste éclairait Bon Temps avec les étoiles qui la constellaient et les rayons d'une lune croissante ; c'était une fin de soirée et Call rentrait chez lui ; enfin, dans la chambre qu'il louait dans un motel le temps de sa mission. Et il n'était pas seul ; le veinard ramenait chez lui un beau Latino qu'il avait rencontré en boîte à quinze minutes à pied de là.
Scott, sa conquête du soir, avec un regard ténébreux qui rendait toute chose notre chasseur quand il posait ses yeux sur lui. Et il avait une bouche que Call ne se lassait pas de dévorer. Plusieurs fois sur le chemin, le chasseur s'était arrêté pour faire une pause bisou et ainsi rouler de grosses pelles au Latino qu'il ramenait chez lui.
Les deux hommes comptaient se faire un câlin une fois arrivé à destination et Call était déjà très excité à l'idée de s'envoyer en l'air avec ce bel inconnu qu'il venait de rencontrer. Il lui faudrait au moins ça pour se remonter le moral ; son père l'avait fiancé à une inconnue et il avait les boules. Si cette mission pouvait s'éterniser et l'empêcher à jamais de rentrer chez lui...
— C'est là...
Murmura Call dans l'oreille de Scott avant de lui lâcher la main pour passer devant et prendre les escaliers qui permettaient de monter à l'étage où se trouvait la porte de sa chambre ; il espérait que la vue de ses fesses musclées roulant dans son pantalon en jean, alors qu'il montait les escaliers devant Scott, ne laissait pas ce dernier indifférent.
Call ouvrit la porte de sa chambre et alluma la lumière en passant la main à l'intérieur. Rien à signaler, il pouvait rentrer. Il laissa Scott le suivre avant de fermer la porte derrière lui. C'était une petite chambre avec un grand lit, quelques meubles de rangement et un grand écran plat accroché au mur en face du lit. Il y avait également une porte qui donnait sur la salle de bain et une fenêtre.
— Et voilà, c'est pas le grand luxe mais on va être bien !
Dit le chasseur en enlevant sa veste, avant d'aller s'assoir sur son lit où Scott était invité à le rejoindre.
La nuit était présente, c'est une évidence, les étoiles étaient visibles et j'avoue que c'est une vision que j'apprécie particulièrement. Cela me détend, ça m'apaise, c'est alors qu'un léger stress commence à monte, j'allais voir où habite le beau gosse, je ne savais pas quoi m'attendre avec Callum et pourtant je le suis bêtement, aveuglement, est-ce que je vais le regretter ? Il y a sans doute un petite chance, surtout que je ne le connais pas, voilà pourquoi généralement je ne fréquente que mes amis, je sais à quoi m'attendre avec eux, je les connais, là c'était totalement à l'aveugle et pourtant, je le suis … Comme un petit chien qui n'avait qu'une envie de passer une bonne soirée et pas seul.
Alors que nous nous dirigeons vers chez lui, il s'était arrêter à plusieurs reprises pour m'embrasser, ce à quoi bien sûr je réponds toujours, j'aime ce petit moment au final qu'il se passe, même si c'est la première fois pour moi que j'embrasse un homme, cela me procure de bonne sensation et j'aime ça. Le fait d'être avec un inconnu ça aide aussi, c'est alors que j'avais accepté d'aller chez lui, je me mets à regarder les lieux, peut-être qu'un jour, je viendrais lui rendre une visite inattendue.
J'ignore le passé de l'homme, j'ignore que le fait que nous allons couchés ensemble, c'était pour que Callum pense à autre chose qu'il libère sa frustration à cause de son père et j'avoue que je ne serais pas heureux de savoir qu'il m'a utilisé. Le pire c'est réellement quand je vais apprendre ce qu'il fait réellement à mes amis. Puis alors que nous arrivons au Motel, je me mets à sourire tout en l'entendant me dire que c'était ici. « Chouette l'endroit. » Je me mets à sourire légèrement dans sa direction.
Lorsqu'il me lâche la main, je le laisse passer, montant les escaliers, j'ai la vue sur les fesses de Callum qui sont tellement agréable, il avait un beau cul, c'est une évidence. Je me retrouve à l'étage, puis c'est alors que je le vois s'arrêter devant la porte numéro 9, je le laisse entrée. Lorsque Call ouvre la porte de sa chambre, j'entre juste après lui et je ferme la porte, je peux sentir alors mon cœur battre et le stress me monte, je tourne la tête essayant de me contrôler, c'est la première fois que je vais me retrouver à faire quelque chose avec un homme, un petit sourire, mais j'ignore qu'en fait, mon sourire exprime mon stress. »C'est quand même un bel endroit. » Puis c'est alors qu'il retire sa veste et qu'il s'installe sur son lit, je le vois m'inviter à le rejoindre.
Je m'approche, mais le stress m'emporte, je le regarde tout en restant concentré à ne pas me transformer. « Heu … ta salle de bain et là bas ? » En lui montrant la porte, je n'ai pas envie de lui dire pourquoi, je place mes mains derrière mon dos, je serre les poings, quand je peux sentir mes griffes sortir, c'est un signe chez moi que je suis trop stresser et que ça m'envahit et si je continue je risque de me transformer.
Si Call n'avait jamais eu de petit ami, ça ne l'empêchait pas parfois de tomber amoureux ; enfin, c'était peut-être exagérer d'appeler ça de l'amour, coup de cœur serait sans doute plus exact ; et Call appelait ça de la distraction. Certes, parfois il craquait pour des garçons et une partie de lui, celle qu'il cachait à sa famille de chasseur, d'aucuns diraient le vrai lui, aurait aimé explorer davantage ce sentiment et, peut-être, tomber réellement amoureux.
Mais il ne pouvait pas se le permettre. Non. C'était impossible. Il avait trop la pression avec sa famille homophobe ; famille composée d'assassins surentraînés soit dit en passant... Assumer son homosexualité serait une condamnation à mort... dans le meilleur des cas ! Il y avait des traitements pires que la mort ; Call en savait quelque chose puisqu'il était lui-même un bourreau pour les loups-garous et qu'il avait tout appris de son salopard de père.
Sans oublier le fait qu'il était un chasseur dans une guerre contre le surnaturel, dont n'avait pas conscience le commun des mortels, et que ça lui prenait beaucoup de temps. Difficile d'avoir une relation avec un type comme lui qui bougeait sans cesse sans pouvoir dire ce qu'il faisait... Non, ce serait bien trop dangereux et compliqué d'avoir un petit ami et les plans d'un soir (ou deux) étaient tout ce qu'il pouvait se permettre.
Et s'il sentait qu'il allait s'éclater au pieu avec Scott, il sentait cette part de lui enfouie qui regrettait de ne jamais laisser une chance aux garçons de le connaître et de faire chavirer son cœur. Il serait largement prématuré de parler de coups de cœur pour Scott à ce moment-là, mais Call commençait sérieusement à craquer pour lui et il se connaissait suffisamment pour savoir que c'était ce genre de gars qu'il regrettait de ne pas revoir une fois qu'il quittait une ville où il était en mission...
— Ouep ! Appelle-moi si tu vas sous la douche, je viendrai te frotter le dos.
Répondit Call, sur un ton humoristique et grivois, au Latino qui venait de lui demander si c'était une salle de bain qui se trouvait derrière la porte.
Il ignorait pourquoi Scott voulait aller dans la salle de bain et il espérait que ce n'était pas de la nervosité ou quelque chose comme ça. Après, il se disait que ce n'était probablement rien. Scott avait peut-être juste besoin de pisser un coup ou de poser une pèche avant de s'envoyer en l'air ; peut-être avait-il besoin de se rafraîchir ou de se laver avant d'offrir son corps à Call.
Ce dernier ne voulait pas vraiment savoir ce que Scott allait faire dans la salle de bain, mais si le Latino voulait se doucher, alors le chasseur lui tiendrait volontiers compagnie, comme on pouvait le comprendre avec sa proposition de lui frotter le dos.
La tension entre les deux était palpable … Après tout, il faut dire qu'ils étaient sur le point de faire quelque chose que je n'avais jamais fait avec un homme, et pourquoi d'ailleurs je l'avais suivi … C'était le stress du moment et je sais que si je ne me réfugie pas dans la salle de bains dans la seconde, je risque de me transformer et ça ce n'est pas bon pour les affaires. Je me mets à sourire lorsqu'il m'indique clairement que c'était belle et bien là-bas que se trouver la salle de bains, je me mets à sourire légèrement lorsqu'il me dit que si j'allais prendre une douche il viendrait me frotter le dos, je fais un petit sourire. « Oh … je me suis déjà lavé, je sens bon … mais sans doute si j'en prends une ... » Je ne termine pas ma phrase et je me dépêche d'aller dans les toilettes, fermant la porte a clé.
Je me mets prêt du miroir, je ferme les yeux quelques secondes, mais mes crocs, mes griffes et mes yeux rouges font surface, c'était pas la pleine lune, mais c'était à cause du stress qu'engendrer la situation, pourquoi je me mets dans une situation pareil. Je prends une grande inspiration, puis je dis à voix basse. « Alpha, Bêta , Oméga » Je répète ce mantra durant trois fois, puis je commence à me calmer, je me mets à me regarder dans le miroir, je me passe un peu d'eau sur le visage.
Je sais que Callum doit se poser des questions, alors je décide de tirer la chasseur d'eau et d'aller me laver les mains, lorsque je sors des toilettes, je me mets à le regarder dans les yeux, il était debout, je crois que j'ai mis plus de temps que prévu, puis je m'approche de lui tout en le regardant. « Donc … je pense que tu es ...un habitué ? » Je ne savais pas trop quoi dire d'autre, je peux sentir qu'il est un habitué de ramener des hommes chez lui, je me doute qu'il sait très bien y faire, mais je ne sais pas si c'est ce que je veux réellement , enfin je l'ai embrassé et j'avoue que la sensation d'excitation lorsque je repense aux nombreux baisers ça me revient dans le pantalon, mais est-ce que je suis prêt à m'envoyer en l'air avec un homme ?
Je m'assois sur le bord du lit, alors que mon regard se pose sur lui, je n'avais pas eu le temps de regarder sa chambre de motel un peu plus en détail, il faut dire que le moment ne se prêtait pas non plus. « Tu m'as dis que tu étais là depuis peu .. tu comptes rester longtemps ? » Je me doute que s'il voulait s'installer en ville, il aurait prit un appartement ou une maison, le fait de prendre une chambre dans un motel, c'est qu'il compte juste s'arrêter quelques jours et repartir. Je ne sais pas pourquoi, je me mets à lui parler, à lui poser des questions sur sa vie, alors que je me doute et au vue des battements de cœur de Callum que s'il m'a ramener ce n'est pas pour une partie de carte, mais d'un peu plus sportif.
Pendant que Scott faisait on ne savait quoi aux toilettes, Call en profita pour consulter son téléphone et il aurait mieux faire de s'abstenir. Il y avait un message de l'un de ses grands frères qui le félicitait pour ses fiançailles en lui disant qu'il allait se débrouiller pour avoir une photo de sa fiancée et la lui envoyer dès que possible. Call n'était pas pressé de voir la tronche de sa future femme ; une photo ne ferait que concrétiser son cauchemar...
Un message qui le troubla et le fit s'impatienter du retour de Scott. Que faisait-il à la fin ? Et puis Call entendit le bruit de chasse d'eau et s'étira en attendant encore un peu le retour de son beau Latino. Notre chasseur était alors prêt à passer à l'action, mais son enthousiasme rencontra les questions de Scott. Apparemment, le Latino voulait faire la causette avant de s'y mettre.
Call était un bon menteur. Un excellent menteur. Et la clé du mensonge était de ne dire que la vérité. De cacher le mensonge dans des affirmations véridiques. Ce n'était pas une mince affaire pour les chasseurs car les loups-garous aguerris étaient de véritables détecteurs de mensonges. Savoir mentir, et donc toujours dire la vérité, était une question de survie. Et une habitude, même quand il ne chassait pas. Ainsi, tout en cachant les raisons de sa présence à Bon Temps, ses activités familiales et compagnie, rien de ce que disait Call à Scott était faux.
D'abord, Scott lui demanda s'il était un habitué. Un habitué de ce genre de situation ? De ramener de beaux garçons chez lui ? Call acquiesça d'un geste de la tête, sans commenter le fait que Scott trahissait que lui n'était un habitué. Scott était-il puceau ?
— Je ne sais pas trop combien de temps je vais rester à Bon Temps. J'ai des affaires de famille à régler. Au mieux ça va me prendre quelques jours, mais je pense que ça me prendra plusieurs semaines.
Répondit-il à Scott, toujours avec le sourire, alors que celui-ci s'inquiétait de la durée du séjour de Call à Bon Temps. Pourquoi voulait-il savoir ça ? Peu importait. Au moins, il saurait dans quoi il mettait les pieds. Peut-être que ce serait plus qu'un coup d'un soir entre eux, mais ça ne durerait pas. Au mieux, ça serait comme un amour de vacances. Ça ne déplairait pas à Call, un petite romance avant qu'on lui passa la corde au cou.
— Et j'ai vingt-trois ans, je suis du signe sagittaire, j'aime la musique classique et la science fiction, j'adore le chocolat, je te trouve super chou et au lit je suis versatile. Et si tu ne sais pas ce que veut dire qu'au lit je suis versatile, je serais honoré de t'en faire la démonstration, aha.
Rajouta Call sur un ton amusé, histoire de détendre l'atmosphère et de dédramatiser la situation. Ce n'était que du sexe, après tout. Il n'y avait pas de quoi être nerveux.
— Sérieux Scott, je ne vais pas te mordre... Sauf si tu me le demandes gentiment, héhé. Juste du fun, entre mecs, sans prise de tête. Si t'es nerveux, on prend notre temps et on ne fait rien que tu n'aies pas envie. Deal ?
Continua-t-il en posant une main sur la cuisse de Scott et en posant tendrement son menton sur l'épaule du Latino, tout en lui faisant les yeux doux.
Le fait de se réfugier dans les toilettes pour essayer de trouver la force de se calmer n'était pas aussi facile, je sais que Call devait sans doute se poser des questions et c'est aussi pour ça qu'une fois que j'ai réussi à trouver la force de me calmer grâce au mantra de la famille Hale, je décide de tirer la chasse d'eau et de me laver les mains, je devais faire semblant d'avoir été au toilette, puis je décide d'ouvrir la porte de la salle de bain et de rejoindre le beau gosse qui devait s'impatienter de me voir revenir.
C'est alors que je me surprend de lui poser des questions sur sa vie, je sais que Callum attendait quelque chose de plus détendu, de coucher ensemble, mais je ne parviens pas à me laisser aller, du moins pas pour le moment. Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque je lui pose des questions, je ne me met pas à écouter son cœur, les battements des gens quand ils mentent, sans doute parce que je me dis que Callum n'a rien à me cacher et que dire la vérité est quelque chose de normal quand on rencontre quelqu'un, enfin c'est ce que je pense.
Très vite, je lui demande s'il était un habitué de ce genre de situation, c'était surtout de ramener des hommes chez lui, chose que moi je ne faisais pas et c'était étrange, j'avais pour habitude de coucher avec des femmes que je connaissais et là … Je me suis laisser aller a la vue du beau gosse, cela me rendait donc quand même un peu nerveusement. Puis je l'écoute me dire qu'il ne savait pas combien de temps il comptait rester en ville, dommage dans le fond. JE me mets à sourire et en même temps faire la grimace, s'il reste plusieurs semaines ça serait cool, mais dans le fond, le fait que ce que Callum lui dit pas est qu'il chasse les loups-garous, risquent d'être assez difficile surtout quand le beau brun va savoir que je fais partie des loups qu'il chasse. « Ah les histoires de famille ce n'est jamais facile je trouve. C'est une chance que tu restes alors quelques semaines, enfin j'espère que tu resteras quelques semaines. » Oh oui j'ai envie qu'il reste un peu plus longtemps que quelques jours.
Pourtant j'ai l'impression que lorsqu'il me parle, il ne me dit pas toute la vérité, en même temps, nous ne sommes que des inconnus lui et moi, je n'ai pas à savoir des choses privées, mais ça me dérange, j'aime bien savoir dans quoi je mets les pieds, ça m'évite aussi d'être prit au dépourvu. Je me mets à sourire lorsqu'il me dit qu'il avait vingt-trois ans et qu'il était sagittaire. JE me mets à avoir un rire gêné, lorsqu'il me dit qu'il était versatile au lit, et qu'il serait honoré de me le prouver ce que ça voulait dire. « J'avoue que ça fait des informations intéressante … Versatile … Je vais être franc avec toi. » Je fais une courte pause tout en plongeant mon regard dans le sien. « Je n'ai jamais été avec un homme … Je me suis déjà tapé des filles, mais jamais d'hommes. » Dis-je ne prenant un air assez normal … Je n'ai pas envie qu'il pense que je suis vierge parce que ce n'est pas le cas.
Je sens que le fait que je ne sois pas à l'aise l'amuse, sans doute aussi une façon à lui de réagir. Puis je me mets à rire légèrement lorsqu'il me dit qu'il n'allait pas me mordre, sauf s'il me le demande. Je pose ma main sur celle qui était sur ma cuisse, posant mon regard dans le sien, je pose ma main libre sur son visage. « Pourquoi pas … Il y a bien une chose que je voudrais vérifier. » Puis posant mon regard dans le sien, je viens à passer ma main sur sa cuisse, remontant légèrement alors que j'approche mes lèvres des siennes. Je l'embrasse, je crois que le fait de savoir qu'il risque de partir dans les jours à venir me pousse à me laisser aller.
Je ne veux pas me faire passer pour un … hétéro … ou un puceau, ce n'était pas le cas, bien sûr que j'ai couché avec des filles et j'avoue jamais avec des hommes, je sais ce qui me plaît et je me dis que ça serait sans doute la même chose, enfin sauf peut-être pour le moment de s'emboîter … Est-ce que je dois réfléchir à ça maintenant, je ferme quelques secondes les yeux puis, je me laisse bercer par le regard du beau gosse en face de moi. C'est une évidence, Callum sait ce qu'il faut faire, je sais ce qu'il veut aussi que je fasse, c'est un peu comme moi, j'adore qu'on me chauffe, qu'on m'allume, j'aime quand on m'excite et je vais essayer de faire la même chose, mais je ne sais pas du tout par quoi commencer.
J'étais un peu déçu sur le fait que je ne risque plus de le voir … Moi qui pensait que je ne coucherais jamais le premier soir … Je crois que je me suis trompé, en plus de ça, si je ne risque plus de le voir, je passerais sans doute à côté de quelque chose, peut-être que je me rendrais compte que ça ne me plaît pas de coucher avec un homme et comme ça je serais fixé, mais si je recule, peut-être qu'il ne voudra plus me voir, même s'il reste quelques semaines … Je suis réellement tiraillé entre ce que je dois faire ou ne pas faire... J'entends de là si je dis que j'ai couché avec quelqu'un que je ne connaissais pas, … J'entends ma mère m'engueuler et me demander si j'avais utilisé des capotes … Tiens d'ailleurs … Je fouille discrètement dans mes poches et je trouve une capote … « Oufff » … Dis-je en moi-même.
J'ai envie de laisser une trace dans la vie de Callum et peut-être que lorsqu'il sera partie, il se décidera de revenir ici, prétextant peut-être que ces problèmes de familles ne se sont pas résolue et qu'il fallait qu'il revienne, alors que ça serait pour moi … « Oulalala … Scott … Calme-toi, tu vas trop loin. » Une nouvelle fois, je me parle à moi-même. Je décide de prendre le taureau par les cornes, ce n'était pas suffisant de juste s'imaginer quelque chose, il faut passé à l'action.
Alors que je m'approche une nouvelle fois de lui, je viens à l'embrasser, je peux sentir qu'il me mordille la lèvre inférieur, alors que ma main qui était sur ses cuisses remonte doucement vers son entrejambe, ma conscience me dit d'arrêter, mais mon désire m'incite à continuer après le baiser, je me mets à le regarder dans les yeux, puis très vite, ma main droite va sur sa tige, je n'étais pas encore exciter, mais je me doute que ça finirait aussi par arriver, puis je le regarder dans les yeux. « Tu as l'air d'être bien monter. » Je me mets à rire légèrement.
Très rapidement, je me mets à déboutonner son jean, pour lui retirer en le faisant bouger de gauche à droite, lorsque je peux voir la vue sur son boxer, je me mets à sourire, alors que mon regard se pose tantôt sur le membre cacher encore par son boxer et aussi son regard. « Woaw ... » Dis-je en souriant, puis je viens à l'embrasser une nouvelle fois, puis je viens à lui retirer son haut, pour avoir une première vue sur son torse, je me mets à sourire alors que je m'écarte un peu. « Oh … woaw... » Ouais, je peux être con, je ne sais pas dire autre chose, il faut dire que j'ai la pression aussi, puis je viens à retirer mon haut et alors que je commence à déboutonner mon jean … Je m'arrête, alors que je me mets à mordre la lèvre inférieur.
Je dois bien avouer que le corps de Callum changeait radicalement pour moi, je suis passé des femmes à un homme et toute la différence est là, Callum à un magnifique torse, j'avoue que je me lasserais pas de le mater et puis totalement différent du mien, enfin totalement … Il a un torse magnifique, sans doute plus dessiné que le mien, je peux voir qu'il s'entretient, je me mets à sourire. « On peut dire que tu sais faire du sport. » Sait faire du sport … Je me secoue la tête. « Je veux dire, tu fais beaucoup de sport. » d'ailleurs, quel genre de sport pouvait-il faire ? Je l'ignore, mais dans le fond, j'aimerais bien savoir, je suis sûr qu'il va me dire que le sport de chambre est le sport qu'il préfère, ça se voit sinon je ne serais pas là devant lui avec mon jean encore sur moi.
Il avait des poils partout, moi c'était juste au niveau du nombril, les poils pubiens aussi et un peu sur les jambes, mais j'avoue que le corps de mon interlocuteur est délicieux à regarder, je me surprends vraiment à être attiré par Callum, le seul homme qui me fait de l'effet à se point. Je me mets à sourire tout en le regardant cependant, je m'imagine des choses, surtout que je suis là devant lui et que nous sommes sans doute sur le point de faire quelque chose que je n'aurais jamais cru possible de faire avec un homme.
Je prends le temps de l'observer alors que mes mains sont toujours sur mon jean, je me mets à le regarder, je peux voir une cicatrice qu'il a sur le torse, je me demande ce qui c'est passé … J'ai envie de savoir, mais je me doute que s'il est là que pour quelque jours, je n'aurais pas le temps d'apprendre en si peu de temps toutes ces questions qui me taraudent dans la tête, c'est sans doute parce que je ne veux plus commettre d'erreur qui pourrait mettre en danger ma meute.
Alors que je suis debout, je me mets à le regarder dans les yeux, lorsque je lui dis juste des « Woaw », oui, je ne sais pas dire autre chose, enfin si, je pouvais le faire, mais c'était difficile, il faut dire qu'il me met autant à l'aise que mal à l'aise, c'est compliqué, il faut dire que je n'ai pas pour habitude de me mettre totalement nu devant un mec et pourtant, au vue de ce que j'ai en face des yeux, je ne devrais pas être mal à l'aise. « Tu m'étonnes que tu n'as pas à te plaindre de ton corps. » Je suis sûr que tous ces amants … Que je déteste, ont dû lui dire la même chose que moi, mais je ne vais pas m'en plaindre, il a décidé de venir avec moi, enfin j'ai décidé de le suivre surtout.
Je me mets à sourire lorsqu'il me dit qu'il a envie de me manger tout cru, je me mets à sourire, j'espère que c'est une façon parler et que ce n'est pas un Wendigo … Non, ça ne peut pas, je l'aurais senti directement, je me mets à retirer d'un geste mon pantalon et je me retrouve avec la trique couvert encore de mon boxe, je m'approche de lui tout en le regardant, je viens à l'embrasse avec beaucoup de fougue. « Et maintenant que nous sommes en boxer … Je...tu...enfin... » Je me doute bien qu'il y a un de nous deux qui va emboîter l'autre, mais j'avoue qu'aux vue du morceau qu'il a dans le froc … ça me fait un peu peur. Et la douleur peut sans doute me faire me transformer … et ça je n'ai pas envie.
Très vite, il me pousse sur le lit et commence à me chevaucher, alors que lui est totalement nu, je me mets à prolonger le baiser qu'il me donne sentant alors ses poils me piquer et aussi m'exciter, ma tige couverte encore de mon boxer était entrain de se réveiller. Je gémis lorsque je sens ses baisers descendre petit à petit, en plus du fait que ça fait longtemps que je n'ai pas coucher, je crois que ça va être une partie de jambe en l'air sous accent de nouveauté et j'avoue que ça m'excite, je me passe une main derrière la tête et l'autre sur le visage de Callum qui était assez prêt pour me procurer une bonne sensation au niveau de mon membre qui commence à se durcir à son maximum.
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Sujet: Le CâLiN qUi PiQuE 
Ven 14 Sep - 12:05
